L’Andullation améliore la circulation sanguine et ne provoque pas de caillots dans les veines et artères, partie 2

Index

  • Introduction
  • Les vibrations d’Andullation n’influent pas sur le taux de cholestérol
  • Un moyen d’éviter les plaques et les caillots dans les artères
  • Notre matériel génétique – l’ADN – et la formation des plaques
  • Comment ces satanés gènes apparaissent-ils ?
  • Au lieu de mesurer l’HDL et du LDL, on ferait mieux de contrôler le taux sanguin d’apolipoprotéine B !
  • À propos des infarctus suite à une thrombose
  • À propos des AVCs suite à une thrombose
  • Un dernier mot concernant les maladies thromboemboliques
  • Facteurs déclencheurs des thromboses veineuses (profondes)
  • Les vibrations d’Andullation ne causent pas d’affections thromboemboliques
  • Comme l’a un jour dit Einstein…
  • Références

Introduction

Pour pouvoir comprendre plus facilement cet article, il est conseillé de d’abord lire la 1re partie (cf. article « L’Andullation améliore la circulation sanguine et ne provoque pas de caillots dans les veines et artères, partie 1 »).

Les vibrations d’Andullation n’influent pas sur le taux de cholestérol

Tout comme les vibrations auquel notre corps fait face chaque jour lorsque nous prenons le train, le tram, la voiture, l’avion, etc., les vibrations d’Andullation n’ont aucune influence sur le taux de cholestérol. Celui-ci dépend en réalité de notre héritage génétique52, 53. On espère arriver un jour à manipuler notre code génétique : l’homme ne peut pas vivre sans espoir ! Malgré tout, j’espère que mon cœur n’aura pas besoin d’un remplaçant !

Un moyen d’éviter les plaques et les caillots dans les artères

Il n’existe pour le moment aucune solution idéale pour éviter que des plaques se forment au niveau des parois des vaisseaux sanguins41 ! Récupérer à 100% après un infarctus ou un AVC, cela relève du rêve. Il n’est cependant pas difficile de diminuer le risque de développer un infarctus ou un AVC. Si nous ne pouvons échapper aux affres du temps, on sait cependant, sur base des connaissances médicales actuelles, qu’il vaut mieux limiter la quantité de graisses dans notre sang. C’est pourquoi il est important d’éviter de rester assis trop longtemps54 et d’éviter les autres facteurs de risque13 tels que décrits dans la première partie. De plus, il est également important de se détendre. Des exercices légers suffisent55, 56.
D’autre part, on ignore encore si une diminution drastique du taux sanguin en lipides n’entraîne pas des risques pour la santé, ou si les moyens existants peuvent prévenir efficacement des complications d’une thrombose.

Peut-être souhaitez-vous continuer à vivre sans ne rien changer, et profiter de la vie comme vous l’avez fait jusqu’à présent, en espérant que vos 330 mg quotidiens d’aspirine suffiront à vous éviter toute complication57. Bien que l’acide acétylsalicylique ait été par le passé prescrit pour prévenir le développement d’infarctus et d’AVCs, l’aspirine ne résout en réalité absolument rien à ce niveau59, 60, 61. Au contraire même : une consommation quotidienne peut mener à des hémorragies62, 63, 64.

À travers mon expérience médicale, je sais que peu de gens ont en réalité la discipline requise pour (1) faire une activité physique régulière (2) ne pas fumer (3) manger et boire sainement et (4) garder son indice de masse corporelle sous contrôle. Pour beaucoup de patients, une sclérose des artères et ses traitements sont perçus comme une atteinte à leur liberté de faire ce qu’ils veulent. Le réel problème est que monsieur Tout-le-Monde, qu’il soit médecin ou patient, n’a aucune envie de mener une vie saine65, 66, 67. En découle même une sorte de scepticisme68. De plus, notre matériel génétique joue ici un rôle primordial. En effet, c’est celui-ci qui décidera si nous développerons des plaques et des caillots dans nos artères.

Notre matériel génétique – l’ADN – et la formation des plaques

Actuellement, l’artériosclérose est irréversible. On ne peut revenir en arrière ! La plupart des traitements innovants pour dissoudre le cholestérol et l’évacuer de nos artères se trouvent encore en phase expérimentale69, 70. On en sait assez peu sur les effets secondaires des statines les plus à l’étude.

Si des molécules futures parviennent également à empêcher les inflammations, elles pourraient bien être capables d’empêcher aussi la formation de plaques73. Quant à savoir si notre ADN se laissera aussi facilement manipuler par des pilules, c’est une autre question. Un grand nombre de nouveaux gènes ont pu être découverts, qui semblent responsables de la quantité de lipoprotéines présentes dans notre sang52, 53.

Comment ces satanés gènes apparaissent-ils ?

Tout comme les animaux qui doivent adapter leur code génétique à un monde extrêmement pollué par les hommes74, 75, une grande partie de l’ADN humain a été réorganisé au cours de millénaires. En résulte une partie de l’ADN « inutile », appelé ADN non codant, en anglais « junk DNA ». Afin de se défendre face à toutes sortes d’infections, qu’il s’agisse de la malaria, de la tuberculose, la bilharziose ou d’autres virus, bactéries ou mycoses, et ainsi pouvoir survivre, nos ancêtres, les homos sapiens qui parcouraient l’Afrique il y a de cela 200 000 ans, ont développé et renforcé leur système immunitaire. Depuis, nous avons tous hérité des gènes immunitaires nécessaires à notre bonne santé. On les appelle les gènes apolipoprotéines APOEe3 et APOEe4. Ils nous permettent de vivre plus longtemps. Mais durant son évolution, l’homme n’a pas développé de gènes capables d’empêcher le processus de vieillissement. Il n’y a d’ailleurs aucune raison d’en développer. Après une période de reproduction, notre ADN a complété son but et n’a plus aucune raison d’être maintenu en bonne condition.

Au lieu de mesurer l’HDL et du LDL, on ferait mieux de contrôler le taux sanguin d’apolipoprotéine B !

Pour le matériel génétique caché au cœur de nos cellules, cela n’a aucune importance que ces cellules vieillissent (= sénescence), disparaissent après « utilisation » (= apoptose) ou meurent (= nécrose). En réalité, nous léguons tous notre « junk DNA » à notre descendance, sans que l’on sache à quoi elle sert. Se pourrait-il que Mère Nature transfère des informations génétiques de façon cachée, silencieuse, à travers notre ADN non codant ? D’après moi - et suivant de nombreuses conversations avec mes professeurs lorsque j’étais à l’étranger – il n’est pas impossible que cette partie inconnue de l’ADN contienne des informations qui, au fur et à mesure de notre vieillissement, causent l’apparition de toute la séries d’affections habituellement associées à la vieillesse. Cela ne me surprendrait pas plus d’ailleurs que les gènes APOEe3 et APOEe4 soient responsables du développement d’infarctus, d’AVCs, mais également d’autres maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer ou la sclérose latérale amyotrophique76, 77, 78, 79. Les preuves dans ce sens s’accumulent. Une augmentation de la quantité d’apolipoprotéines B semble jouer un rôle crucial dans l’apparition d’affections cardio-vasculaires80, 81. Les vibrations d’Andullation n’impactent en aucun cas ces gènes.

À propos des infarctus suite à une thrombose

Il n’existe pour le moment aucun instrument d’imagerie capable de laisser voir le cœur aussi précisément que par une autopsie. Il est évident que notre cœur souffre beaucoup au cours de notre vie. Sur les photos d’autopsie de cœurs d’enfants ou de personnes obèses, atteintes de cancer ou toxicomanes, il n’y a aucun doute que non seulement les vaisseaux sanguins du cœur (= artères coronaires), mais également le muscle cardiaque lui-même est lourdement affecté82.

Un infarctus cardiaque compromet le fonctionnement d’une grande partie du cœur car les cellules cardiaques meurent face à un manque d’oxygène. Les médicaments existants destinés au cœur permettent de réprimer les maux, mais ne permettent pas de remplacer les cellules mortes14. Les médicaments permettent à une pompe défaillante de forcer, ce qui entraîne son lot de problèmes et la dégradation générale de l’organe83.

Étant donné qu’on a pu démontrer que les cellules cardiaques pouvaient se reconstituer84, 85, 86, 87, 88, une thérapie biologique innovante pourrait permettre leur « réparation » 89, 90. C’est pourquoi on expérimente avec l’injection dans le cœur de tout type de cellules85, 86, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97. Beaucoup de cellules de donneurs se montrent incompatibles et finissent par disparaitre, sans que l’on comprenne exactement pourquoi99, 100, 101.

La solution génétique pour améliorer la fonction cardiaque semble être une piste sérieuse102, 103a, 103b. Ces nombreux mécanismes génétiques pourraient en effet se trouver à l’origine de tout un tas d’affections. Les chercheurs rêvent depuis des décennies de forcer notre machine génétique à assurer notre rétablissement. Le principe est simple. Un brin de bon ADN est attaché à l’ADN d’un virus. Le virus est ensuite injecté au travers de la paroi d’une cellule, où il attache ses gènes à l’ADN cellulaire104, 105. Mais un problème persiste ! Nous possédons tous des gènes qui produisent des anticorps pour détruire les virus. Peut-être qu’en 2021, la Commission européenne injectera à nouveau quelques milliards dans la plus grande université d’Europe, la Charité à Berlin, afin de conclure leur projet de recherche RESTORE et permettre à la thérapie cellulaire et génétique de se concrétiser dans les cliniques106.

À propos des AVCs suite à une thrombose

Le cerveau est un organe si gourmand en énergie et nécessitant tant d’oxygène et de sucre que le moindre manque peut directement causer de gros problèmes. Soudainement, la moitié de votre visage se retrouve bloquée, provoquant des problèmes d’élocution, ou un bras, ou une jambe se retrouve paralysée. Vous perdez soudainement votre indépendance à cause d’un AVC ! Un caillot apparait dans une artère quelconque et se dirige ensuite vers le cerveau, pour y bloquer une artère du cerveau. Cela devient alors une réelle course contre la montre pour acheminer l’oxygène au cerveau107, 108. Chaque minute sans oxygène entraine la mort de millions de cellules nerveuses. Les cerveaux vieillissent de 3,6 ans par heure sans traitement109.

Une fois que les signes cliniques sont clairement identifiés, il faut suivre des plans ciblés de revalidation. Peut-être bientôt pourrons-nous renforcer les effets de la rééducation par des appareils portables avec détecteurs sensoriels110. En attendant, la médecine nous dit clairement que le meilleur moyen d’empêcher un AVC, c’est d’éviter au maximum les facteurs de risque. Alors, allons-y !

Mais ce n’est pas tout ! La recherche concernant la régénérescence des tissus nerveux se consacre actuellement au développement d’« aliments pour cerveau ». Le cerveau possède des cellules auto-régénérantes, les cellules souches neurales, capables de se transformer en différentes cellules du système nerveux111a, 111b. Après un AVC, ces cellules se dirigent vers la zone détériorée pour la restaurer112. Mais il y a un problème ! Elles ne sont pas assez nombreuses que pour se transformer en cellules nerveuses opérationnelles113. Dans la partie du cerveau touchée, on injecte de l’hydrogel (=gel super absorbant) pour essayer de stimuler la croissance des cellules souches neurales ou améliorer la circulation sanguine114.

Un dernier mot concernant les maladies thromboemboliques

Les thromboses veineuses profondes (TVP) et les embolies pulmonaires sont des signes d’une maladie thromboembolique veineuse (MTEV). La réduction chronique du flux sanguin dans les veines pauvres en oxygène peut mener à des ulcères incurables au niveau des jambes. Observez attentivement les jambes de vos contemporains et remarquez le nombre de personnes portant des bas.

Une fois l’embolie pulmonaire sous contrôle, le patient fait face à une capacité respiratoire limitée. On ignore combien de personnes meurent des suites d’embolies pulmonaires. Sans autopsie complémentaire, la cause de la mort se limite à « arrêt cardiaque soudain ». En théorie, on peut facilement traiter une MTEV à l’aide de médicaments qui empêchent la formation de caillots dans les veines (= anticoagulation). Mais il y a un problème ! Ce traitement va de pair avec des saignements dangereux et inattendus (= hémorragies). Les saignements consécutifs à la prise de ces médicaments constituent la première raison d’hospitalisations iatrogènes (= provoquée par un traitement médical).

L’idéal serait d’évaluer les avantages, mais surtout les risques des traitements anticoagulants.

Facteurs déclencheurs des thromboses veineuses (profondes)

Les causes d’une TVP ou d’une MTEV diffèrent de celles à l’œuvre dans la formation de caillots dans les artères. La première cause n’est ici pas le processus de vieillissement. Les facteurs déclencheurs les plus sérieux, par lesquels la circulation sanguine des vaisseaux pauvre en oxygène est ralentie et des caillots peuvent apparaître sont (1) des parois sanguines endommagées par la chirurgie (principalement l’orthopédie, même lors de la prise de médicaments empêchant la formation de caillots), les accidents, les fractures, le placement d’un pacemaker ou de cathéters, (2) l’immobilisation des suites d’un plâtre, d’un alitement prolongé (à l’hôpital ou dans les maisons de retraite), de voyages de longue durée, d’une paralysie, (3) les facteurs qui épaississent le sang tels que le cancer, la thérapie oestrogénique, la grossesse, l’obésité, et (4) de nombreux troubles sanguins115. Pour une thromboembolie sur trois environ, on ne fait état d’aucun de ces facteurs déclencheurs116.

Les vibrations d’Andullation ne causent pas d’affections thromboemboliques

Dans toutes les facultés du monde, on apprend aux étudiants médicaux et paramédicaux de conseiller aux personnes souffrant de « jambes et pieds gonflés » de surélever les membres touchés lors du coucher, d’activer fortement les muscles de la jambe, et de la masser en direction du bassin. Si ce n’était pas le cas, il faudrait réécrire de nombreuses lois en physique, en physiothérapie et en médecine.

Il est faux de prétendre que les vibrations sinusoïdales stochastiques (à l’amplitude et la fréquence aléatoire) – telles que les vibrations d’Andullation (cf. Blog ‘Trillingen, Andullatie en VUB-Leerstoel ‘Andullation Care Research’) – puissent être responsables de dégâts aux parois sanguines ou de l’épaississement du sang. C’est précisément l’inverse. Il a été expérimentalement démontré que les vibrations d’Andullation facilite la circulation sanguine dans les vaisseaux pauvres en oxygène, afin d’éviter que la circulation sanguine soit gênée et qu’un caillot se forme. On court plus vite un risque lorsqu’un caillot se développe dans les veines, par exemple à cause d’un long voyage en position assise, qu’il s’agisse de la voiture, du train ou de l’avion117.

Comme l’a un jour dit Einstein…

Je prends la liberté de citer Einstein à ce propos : « Lorsque l’on désire émettre des critiques (positives ou négatives), il s’agit de d’abord regarder les données connues avant de philosopher. » C’est pour cette raison que j’ai voulu vous donner ce petit aperçu de la problématique de formation des caillots. Elle peut donc faire l’objet d’analyses ultérieures et de critiques. Mais rassurez-vous, les vibrations d’Andullation ne provoquent en aucun cas des caillots, que cela soit dans les artères ou dans les veines.

Références : deuxième partie

1 à 51. Cf. article précédent (partie 1)

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* Guy Declerck, MD

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  • 1983, Medische Specialist in de Orthopedie (KUL & Exeter, UK)
  • 1988, Postgraduate Orthopedic Surgery (Plymouth & Liverpool, UK)
  • 1989, Spinal Fellow in Adult Spinal Surgery (Perth, Australia)
  • 1989, Research Fellow in Spinal Injuries & Rehabilitation (Perth, Australia)
  • 1989, Neuromuscular Foundation of Western Australia Postgraduate Studentship
  • 1992, Spinaal Orthopedisch Chirurg (Vlaanderen en buitenland)
  • 1992, Medical Doctor National Belgian Judo Team
  • 1993, European Spine Research Fellowship ‘Bionic Walking’ (Stoke-on-Trent, UK)
  • 1994, Worldwide Encyclopaedia Invited Surgeon and SAFIR Spinal Travel Fellowship
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  • 2003-2006, Sabbatical
  • 2007-2014, International Spinal Research, Spinal Scientific Advisory Consultant & Instructor
  • 2007-now, Consultant Research & Development Innovative & Restorative Spinal Technologies
  • 2007-now, Spinal Lecturing & Writing, Surgical Education (www.guy-declerck.com en www.hhp.be/nl/blog)
  • 2012-now: President International Association Andullation Therapy (www.iaat.eu/Science)