L’Andullation offre des solutions si vous souffrez du bas du dos

Demandez l’avis de quelqu’un qui sait de quoi il parle

Toujours faire attention à ceux qui semblent tout savoir et tout connaître ! On aime flatter son égo ! Lors de ma longue formation internationale et pendant ma carrière en tant que chirurgien, il m’est apparu que nombreux étaient ceux qui aimaient à se penser experts et n’hésitaient pas à prêcher leur soi-disant savoir. Nous devons donc prendre un certain recul lorsque nous faisons face à ces « experts » autoproclamés. Le professeur Richard Feynman, scientifique intègre et prix Nobel de physique, a défini la science comme une « croyance en l’ignorance des experts ». Personnellement, en tant que médecin, chirurgien, chercheur et professeur, je suis absolument convaincu — et j’espère vous aussi — de la nécessité de baser l’expertise sur des analyses et des connaissances correctes de données et mesures, et reproduisibles bien sûr. Sinon, cela revient à expliquer les couleurs de fleurs exotiques à un aveugle.

Attentions aux prêcheurs qui ignorent de quoi ils parlent

Un manque de connaissances est souvent un signe de faiblesse, mais c’est avant tout un mécanisme de défense particulièrement efficace. Il n’y a qu’une vertu, a dit un jour Socrate, et c’est la connaissance. À l’inverse, ajoute-t-il, le seul vice est l’ignorance. Je suis d’avis que les aversions personnelles et l’ignorance au sujet de l’Andullation ne devraient pas être confondues avec la recherche scientifique. La science remet constamment tout et tout le monde en question. On ne peut parler d’approche scientifique si on n’a pas préalablement fait des recherches, des lectures et des analyses avant de conclure. On oublie souvent de le préciser ! Pour concrétiser une idée innovante comme l’Andullation, on doit évidemment disposer de connaissances exactes1. C’est pourquoi on étudie les effets de l’Andullation « in vitro » et « in vivo » à travers une chaire universitaire à la Vrije Universiteit de Bruxelles (cf. Blog « Trillingen, Andullatie en ‘Andullation Care Research’ VUB-Leerstoel »).

Il n’est pas toujours facile d’analyser et tirer des conclusions

Pour analyser et juger des effets des appareils d’Andullation et de leur fréquence vibratoire modulée entre 20 et 45 Hz, il faut éviter de comparer des pommes et des poires. Néanmoins, nombreux sont ceux qui veulent partager leur interprétation à qui veut l’entendre — aussi peu basée sur des faits scientifiques qu’elle puisse être. Dans l’histoire de l’humanité, les choses semblent se répéter. Voir la folie là où on manque de connaissances, voilà une occupation humaine intemporelle2.

Lisez donc les informations ci-dessous pour comprendre pourquoi, sur la base d’analyses correctes de données connues, l’Andullation permet généralement d’atténuer les douleurs du bas du dos.

Les vibrations non chaotiques n’entraînent pas de dégradation

Tous les objets et appareils qui ne produisent pas des vibrations sinusoïdales à rythme régulier et sans modulation des fréquences et amplitudes, sont susceptibles de provoquer de graves lésions corporelles. Cela n’est pas seulement dû à l’aspect non sinusoïdal, mais aussi au côté chaotique des variations d’amplitude et de fréquence3,4. Lorsque quelqu’un est soumis de façon prolongée à ces vibrations non sinusoïdales et non modulées, il peut même, sur base des éventuelles lésions, prétendre à la reconnaissance d’une maladie professionnelle5.

Les vibrations stochastiques n’offrent que des avantages

Dans notre monde moderne industriel, il existe de nombreuses situations professionnelles dans lesquelles le corps tout entier est soumis à des vibrations dans une position assise6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14. Les conducteurs de véhicules tels que camionnettes, engins de terrassement, bus, tracteurs, etc.6, 15, 16, 17, 18, 19, mais également les pilotes d’hélicoptères20 courent le risque de souffrir de douleurs chroniques du dos. À l’inverse, les vibrations d’Andullation permettent de soulager et réprimer ces maux du bas du dos (cf. article « L’Andullation et les mécanismes d’atténuation de la douleur »).

Aucune preuve scientifique de la détérioration du bas du dos par des vibrations

Il n’existe aucun lien prouvé scientifiquement (que cela soit par IRM ou épidémiologie) entre l’exposition prolongée à des vibrations chaotiques et une dégradation des disques visible par imagerie médicale21, 22, 23, 24. Ces images typiques de dégénérescence se retrouvent chez tout le monde, même chez ceux qui ne ressentent aucune douleur dorsale ou ceux qui n’ont jamais eu à travailler25, 26, 27, 28, 29, 30, 31.

Sans vieillissement et, surtout, sans altérations dégénératives des disques : aucune douleur du bas du dos !

En effet, il arrive souvent que l’énergie mécanique de tout un tas de vibrations chaotiques puisse accélérer et intensifier le processus biochimique naturel de vieillissement des disques intervertébraux (cf. article « Verouderen blijft niet zonder gevolgen. Discuscellen moeten snel hun strategie aanpassen. »). Les lésions qui surviennent dans les trois parties des disques (= noyau, anneaux fibreux et plaques de cartilage) peuvent se déclarer chez presque n’importe qui, il n’y a donc pas besoin d’effectuer des activités physiques lourdes. Des activités du quotidien, dont on ne pense pas qu’elles affectent le dos, mènent à la même dégradation, simplement car nous vieillissons (cf. Blog « Mysterie van discuskraakbeen in de lage rug »). Toutes ces petites lésions perturbent les fonctions du disque et peuvent chacune causer des douleurs32, 33 (cf. article « Het lot van uw verouderende discus wanneer het degeneratieproces intreedt »).

Les vibrations d’Andullation ne provoquent pas de résonances dans le corps humain

Tout objet, tout être vivant ainsi que leurs organes individuels possèdent une fréquence vibratoire naturelle, aussi appelée fréquence propre. Même si nous n’en sommes pas conscients, il est possible, à l’aide de transducteurs, de mesurer objectivement la fréquence propre de la colonne vertébrale et du corps. De plus, un objet ou un appareil qui vibre peut faire vibrer d’autres objets, par exemple les vibrations d’un tracteur affecteront autant le conducteur que le chargement.

Tant que la fréquence vibratoire d’un objet particulier ne correspond pas à la fréquence propre du corps, on court peu de risques. Tous deux vibreront légèrement. Bien entendu, le facteur temps est décisif dans ce genre de situations. Ceux qui, pour des raisons professionnelles, doivent endurer 8 heures par jour des vibrations d’un objet possédant une fréquence propre différente de celle du corps ont plus de chance de développer des lésions. Cela n’arrive néanmoins pas lors d’une séance de 15 à 30 minutes, dans une position couchée, avec vibrations modulées telles que celles de la thérapie par Andullation.

Au contraire, lorsque les fréquences vibratoires sont identiques, les objets entrent en résonnance, ce qui augmente progressivement l’amplitude des vibrations. Ces vibrations en résonnance sont capables de délivrer des énergies cinétiques destructrices. L’un des exemples les plus connus concerne l’effondrement du pont du détroit de Tacoma, aux États-Unis34.

Les fréquences propres des objets ne doivent pas interférer avec la fréquence propre du corps (= 4-5 Hz) !

Lorsque notre corps est exposé de façon prolongée (= plusieurs heures !) à des vibrations de résonnance, les énergies cinétiques alors produites présentent un réel risque pour les disques du bas du dos. Nous ne nous rendons pas compte de ce phénomène. Nous le ressentons qu’une fois que les lésions sont déjà bien avancées, ou lorsque les lésions découlant du processus naturel de vieillissement se retrouvent fortement aggravées.

Ce n’est qu’après un certain temps que les chauffeurs et pilotes commencent à ressentir les effets susmentionnés. L’analyse des effets mécaniques de leur véhicule motorisé démontre que ces engins possèdent une fréquence propre entre 4.5 et 5 Hz, ce qui est aussi la fréquence vibratoire du corps humain en position assise8, 35. Dans ces conditions, on a constaté que la colonne vertébrale se comporte comme une tige viscoélastique. Cela signifie que la colonne peut transférer les vibrations au disque, mais peut aussi absorber l’énergie vibratoire selon un schéma assez prévisible36.

La fréquence propre de la colonne vertébrale correspond à la fréquence propre du corps lui-même. Cela signifie que, lorsque de longs déplacements en voiture ou en avion, des vibrations de résonance peuvent apparaitre. Elles peuvent ainsi générer des énergies destructrices, elles-mêmes capables de provoquer ou aggraver les douleurs du bas du dos9, 37. On parle même de hernie discale aigüe6, 38. Ces maux se déclarent le plus souvent chez des personnes disposant de disques encore relativement bien hydratés, mais bien moins chez ceux pour qui les IRM témoignent d’une dégénérescence des disques (= usure du dos)39. Les vibrations bénéfiques d’Andullation provoquent très rarement des maux du bas du dos.

La recherche en laboratoire et les conséquences de la résonance

Lorsque, en laboratoire, on expose la colonne vertébrale humaine à des fréquences vibratoires entre 4.5 et 5 Hz, des déchirures des disques et des hernies peuvent survenir. De plus, on a pu observer des altérations dans la structure osseuse des corps vertébraux39, 40. On a également exposé des animaux à de telles résonances et on a constaté une augmentation significative de ce qu’on appelle la substance P, une molécule qui, entre autres, transmet les signaux de douleur au cerveau41, 42. Les fréquences vibratoires modulées entre 20 et 45 Hz, et administrée dans une position couchée — comme les vibrations d’Andullation — n’entraînent aucune dégradation des disques ou altération de la colonne vertébrale. Au contraire ! Les vibrations d’Andullation peuvent réprimer la plupart des douleurs du bas du dos.

Aucune douleur du bas du dos si on est couché dans la bonne position

Les personnes qui restent longtemps assises en exposant leur colonne à des vibrations mécaniques — par exemple sur un tracteur — sont susceptibles de rapidement souffrir de problèmes du bas du dos à cause de phénomènes de fatigue musculaire. Étant donné que les vibrations d’un tracteur interfèrent avec la fréquence de résonance du corps (4.5-5 Hz), des vibrations verticales importantes apparaissent35, 36, 43 et délivrent une grande énergie cinétique aux disques, provoquant donc de grands mouvements entre les vertèbres44. Afin de s’assurer de la stabilité du haut du corps, les muscles du dos doivent se contracter extrêmement fort45, 46, 47. L’électromyogramme (= mesure l’électricité dans les muscles) détecte une fatigue musculaire après 1 h d’exposition36.

Ceux qui, par ailleurs, se tiennent bien droits sur une plaque vibrante de fitness peuvent également subir des fréquences de résonance nuisibles, situées entre 5.5 et 7 Hz. Afin de limiter ce phénomène de résonance et permettre un certain effet au niveau des jambes, on plie les genoux48, ce qui permet aux muscles des cuisses d’absorber les chocs nocifs et de préserver le bas du dos49.

Les vibrations d’Andullation sont dispensées à des personnes en position couchée, ce qui assure aux muscles du dos d’être détendus et ne pas se fatiguer. La raison ? Les mécanorécepteurs restent alertes !

Fonctions des mécanorécepteurs de la colonne vertébrale

Dans les tissus de la colonne vertébrale (= articulations facettaires, muscles, fascias, ligaments et disques) se trouvent un grand nombre de mécanorécepteurs qui enregistrent les vibrations50, 51, 52, 53, 54. La raison pour laquelle les mécanorécepteurs de notre peau sont essentiels est détaillée dans l’article « L’Andullation et les mécanismes d’atténuation de la douleur ». Étant donné que les vibrations activent le mécanisme de réflexe musculaire, les muscles du dos génèrent des contractions stabilisantes. De cette façon, elles assurent la stabilité de la colonne et empêchent les mouvements excessifs45, 46, 55, 56, 57.

En position assise ou debout, les vibrations en résonance provoquent une fatigue musculaire et des douleurs. La fatigue musculaire diminue la sensibilité des mécanorécepteurs qui généreront donc beaucoup moins de contractions musculaires58, 59, 60. La fatigue musculaire explique très souvent la proprioception par laquelle la coordination et le contrôle des mouvements sont rendus difficiles61, 62, ce qui peut entraîner une posture anormale63, 64, 65. Lorsque les muscles du dos deviennent douloureux, il devient également plus difficile pour les muscles de se contracter et de contrôler la stabilité et les mouvements du dos66, 67, 68, 69.

Sur les animaux, les vibrations de résonance provoquent des altérations du métabolisme des cellules des disques

Lors d’expériences sur des rats, des lapins et des cochons, on a pu confirmer que les vibrations mécaniques entre 4 et 6 Hz, administrées dans une position verticale telle qu’assis ou debout — et donc pas en position couchée — délivrait une énergie mécanique qui avait un effet néfaste sur les cellules du disque8, 35, 43, 44, 70. Ces vibrations ne perturbent pas seulement l’apport nutritionnel du disque71, mais également le métabolisme cellulaire au sein du noyau du disque (= nucleus pulposus) et de l’anneau fibreux (= annulus fibrosus)72, 73, 74, 75. Ces vibrations de résonance destructrices sont la raison pour laquelle la production des molécules les plus importantes des disques (= protéoglycanes)73, 74, 75 se retrouve réduite. Ces vibrations stimulent même la production d’enzymes qui détruisent les mêmes molécules essentielles (= métalloprotéinase matricielle protéolytique)74. Il est important de souligner que les processus chimiques provoqués par les vibrations de résonance sont les mêmes que celles qui ont lieu lors d’un processus normal de vieillissement des disques. Il n’est donc pas très difficile de comprendre que l’énergie mécanique de ces vibrations influence négativement les processus chimiques des disques. C’est ce qu’on appelle l’interférence mécanobiologique32.

Existe-t-il des traitements efficaces pour les douleurs du bas du dos ?

Conformément à une précédente étude mondiale et fondée sur des données probantes, le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé a conclu qu’il n’existe en Belgique aucun traitement — qu’il soit conservateur, semi-interventionnel ou qu’il s’agisse de chirurgie — qui permette de résoudre avec certitude et définitivement toutes les douleurs du bas du dos. Tous les traitements médicaux et paramédicaux ne peuvent qu’offrir un soulagement à « court terme »76, 77. Le rapport belge a même conclu que l’acuponcture, le massage et la chiropractie ne sont pas plus, mais aussi pas moins efficaces que les autres traitements reconnus. Peut-être vous rappelez-vous qu’il existe des endorphines semblables à la morphine (cf. article « L’Andullation et les mécanismes d’atténuation de la douleur »).

Que disent les médecins aux États-Unis à propos des douleurs du bas du dos ?

En 2017, L’American Medical Association78 a confirmé que les traitements actuels sont totalement inadéquats pour traiter les douleurs lombaires chroniques. Les médecins généralistes répètent qu’il n’existe pas de « pilule ou de traitement magique ». Le patient qui ressent des douleurs du bas du dos « sans raison particulière » - ce qui concerne 85 % des douleurs dorsales à travers le monde79,80,81 (cf. article « La cause de la lombalgie ne peut être déterminée avec certitude que dans 15 % à 20 % des cas ») – il est avant tout conseillé de continuer à bouger et d’éviter le repos excessif. Pour réprimer au plus vite l’intense douleur, on conseille également des thérapies alternatives telles que le massage, la thérapie par la chaleur, l’acuponcture et les manipulations chiropratiques78. Vous vous rappelez l’influence des endorphines !

Les vibrations d’Andullation atténuent la plupart des douleurs chroniques du bas du dos

L’Andullation constitue une avancée importante dans le traitement de la douleur chronique. Cela vaut d’autant plus lorsqu’on tient compte des chiffres de l’Organisation mondiale de la santé : près de 95 % de la population mondiale souffre de façon chronique ou continue82, 83, 84, 85.

Entre-temps, je suis devenu moi aussi convaincu que « les plaques, les vis et la chirurgie » sont peu efficaces pour traiter les douleurs du dos qui n’ont pas de cause précise79, 80, 81, si ce n’est pour un petit nombre de patients. Avec le temps, seul 1 patient opéré sur 5 se sent « mieux » que s’il n’avait pas été opéré. Pour être clair : on se sent généralement, après une telle opération, 10 % moins bien ou 19 % mieux86, 87, 88, 89, 90, 91. C’est pourquoi le nombre d’opérations pour ce type de douleurs du bas du dos a baissé de plus de 50 % en Belgique ! En comparaison, la bonne vieille « pilule en sucre » (= le placebo) fait état d’un pourcentage d’efficacité de 60 à 65 % !

Que les plaques et les vis puissent soulager les personnes souffrant de douleurs dorsales sans cause identifiée relève donc de la légende. Mais les chirurgiens du dos ne sont que les « techniciens » de ce que l’industrie médicale leur propose comme matériel. Et cela a un prix, pour le patient comme pour l’ensemble de la société.

Même pour les opérations des « hernies discales », il n’existe aucun remède miracle. La chirurgie discale a depuis longtemps mauvaise réputation à cause du risque accru de transformer un patient en véritable épave92.

Conclusion

Sur base des réflexions théoriques concernant les vibrations étudiées par tous les étudiants médicaux et paramédicaux, on peut se dire qu’une exposition régulière aux vibrations d’Andullation constitue un moyen efficace de réduire les douleurs chroniques du bas du dos, et même de les garder sous contrôle.

 

Références

  1. Calestous Juma, « Innovation and its enemies. Why people resist new technologies’, Oxford University Press, 2016
    2. Tuchman Barbara, ‘De mars der dwaasheid“, Elsevier, 1984
    3. Griffin MJ, ‘Handbook of human vibration’, Elsevier Academic Press, 3rd edition, 2003: 793-798 www.sciencedirect.com/science/book/9780123030405
    4. Cardinale M, Pope MH, « The effects of whole body vibration on humans. Dangerous or advantageous?’, Acta Physiol Hungar, 2003, 90:195
    5. Dupuis H, « Medical and occupational preconditions for vibration-induced spinal disorders. Occupational disease no. 2110 in Germany’, Int Arch Occup Envir Health, 1994, 66:303
    6. Kelsey JL, Hardy RJ, ‘Driving of motor vehicles as a risk factor for acute herniated lumbar intervertebral disc’, Am J Epidemiol, 1975, 102:63
    7. Troup JDG, « Driver's back pain and its prevention. A review of the postural, vibratory and muscular factors, together with the problem of transmitted road-shock’, Applied Ergonom, 1978, 9:207
    8. Wilder DG, Woodworth BB, Frymoyer et al., ‘Vibration and the human spine’, Spine, 1982, 7:243
    9. Frymoyer JW, Pope MH, Clements JH et al., ‘Risk factors in low-back pain. An epidemiological survey’, J Bone Joint Surg, 1983, 65A:213
    10. Damkot DK, Pope MH, Lord J et al., ‘The relationship between work history, work environment and low-back pain in men’, Spine, 1984, 9:395
    11. Troup JDG, ‘Clinical effects of shock and vibration on the spine’, Clin Biomech, 1988, 3:232
    12. Kitizaki S, Griffin MJ, ‘A modal analysis of whole-body vertical vibration, using a finite element model of the human body’, J Sound Vibration, 1997, 200:83
    13. Hill TE, Desmoulin GT, Hunter CJ, ‘Is vibration truly an injurious stimulus in the human spine?’, J Biomech, 2009, 42:2631
    14. Freitas EP, Rahal SC, Gioso MA et al., ‘Finite element modeling and modal analysis of the human spine vibration configuration’, IEEE Trans Biomed Engineering, 2011, 27:212
    15. Kelsey JL, ‘An epidemiological study of the relationship between occupations and acute herniated lumbar intervertebral discs’, Int J Epidemiol, 1975, 4:197
    16. Kelsey JL, ‘An epidemiological study of acute herniated lumbar intervertebral discs’, Rheumatol Rehabil, 1975, 14:144
    17. Frymoyer JW, Pope MH, Costanza MC et al., ‘Epidemiologic studies of low-back pain’, Spine,1980, 5:419
    18. Heliövaara M, ‘Occupation and risk of herniated lumbar intervertebral disk or sciatica leading to hospitalization’, J Chron Dis, 1987, 40:259
    19. Bovenzi M, Zadini A, ‘Self-reported low back symptoms in urban bus drivers exposed to whole-body vibration’, Spine, 1992, 17:1048
    20. Bongers PM, Hulshof CT, Dijkstra L et al., ‘Back pain and exposure to whole body vibration in helicopter pilots’, Ergonomics, 1990, 33:1007
    21. Drerup B, Granitzka M, Assheuer J et al., ‘Assessment of disc injury in subjects exposed to long-term whole-body vibration’, Eur Spine J, 1999, 8:458
    22. Kumar A, Varghese M, Mohan D et al., ‘Effect of whole-body vibration on the low back. A Study of tractor-driving farmers in north India’, Spine, 1999, 24:2506
    23. Videman T, Simonen R, Usenius J et al., ‘The long-term effects of rally driving on spinal pathology’, Clin Biomech, 2000, 15:83
    24. Battié MC, Videman T, Gibbons LE et al., « Occupational driving and lumbar disc degeneration. A case-control study’, Lancet, 2002, 360:1369
    25. Powell MC, Wilson M, Szypryt P et al., ‘Prevalence of lumbar disc degeneration observed by magnetic resonance in symptomless women’ Lancet, 1986, 2:1366
    26. Boden SD, Davis DO, Dina TS et al., ‘Abnormal magnetic-resonance scans of the lumbar spine in asymptomatic subjects. A prospective investigation’, J Bone Joint Surg, 1990, 72A:403
    27. Boden SD, McCowin PR, Davis DO et al., ‘Abnormal magnetic-resonance scans of the lumbar spine in asymptomatic subjects’, J Bone Joint Surg, 1990, 72A:1178
    28. Osterman K, Schlenska D, Poussa M et al., « Isthmic spondylolisthesis in symptomatic and asymptomatic subjects, epidemiology, and natural history with special reference to disk abnormality and mode of treatment », Clin Orthop Relat Res, 1993, 297:65
    29. Buirski G, Silberstein M, ‘The symptomatic lumbar disc in patients with low-back pain. Magnetic resonance imaging appearances in both a symptomatic and control population’, Spine, 1993, 18:1808
    30. Jensen MC, Brant-Zawadzki MN, Obuchowski N et al., ‘Magnetic resonance imaging of the lumbar spine in people without back pain’, N Engl J Med, 1994, 331:69
    31. Boos N, Semmer N, Elfering A et al., ‘Natural history of individuals with asymptomatic disc abnormalities in magnetic resonance imaging. Predictors of low back pain-related medical consultation and work incapacity’, Spine, 2000, 25:1484
    32. Adams MA, Roughley PJ, ‘What is intervertebral disc degeneration, and what causes it?’, Spine, 2006, 31:2151
    33. Adams MA, Bogduk N, Burton K, Dolan P, « The biomechanics of back pain. Mechanical damage to the thoracolumbar spine. Third edition’, Churchill Livingstone, Elsevier, 2013:137
    34. https://christopheenmaarten.wordpress.com/2010/01/24/tacoma-narrows-brug/
    35. Panjabi MM, Andersson GB, Jorneus L et al., ‘In vivo measurements of spinal column vibrations’, J Bone Joint Surg, 1986, 68A:695
    36. Schultz A, Haderspeck K, Warwick D et al., ‘Use of lumbar trunk muscles in isometric performance of mechanically complex standing tasks’, J Orthop Res, 1983, 1:77
    37. Svensson HO, Andersson GB, ‘Low-back pain in 40- to 47-year-old men. Work history and work environment factors’, Spine, 1983, 8:272
    38. Kelsey, Githens, O’Connor et al., ‘Acute prolapsed lumbar intervertebral disc. An epidemiological study with special reference to driving automobiles and cigarette smoking’, Spine, 1984, 9:608
    39. Adams MA, Hutton WC, ‘Gradual disc prolapse’, Spine, 1985, 10:524-531
    40. Adams MA, Hutton WC, ‘Prolapsed intervertebral disc. A hyperflexion injury. 1981 Volvo Award in basic science’, Spine, 1983, 8:880
    41. Weinstein J, Pope M, Schmidt R et al., ‘Neuropharmacologic effects of vibration on the dorsal root ganglion. An animal model‘, Spine, 1988, 13:521
    42. Nakamura H, Moroji T, Nohara S et al., « Effects of whole-body vibration stress on substance P- and neurotensin-like immunoreactivity in the rat brain », Environ Res, 1990, 52:155
    43. Wilder DG, Pope MH, ‘Epidemiological and aetiological aspects of low back pain in vibration environments - an update’, Clin Biomech (Bristol, Avon), 1996, 11:61
    44. Pope MH, Kaigle AM, Magnusson M et al., ‘Intervertebral motion during vibration’, Proc Inst Mech Eng H, 1991, 205:39
    45. Seroussi RE, Wilder DG, Pope MH, ‘Trunk muscle electromyography and whole body vibration’, J Biomech, 1989,22:219
    46. Sullivan A, McGill SM, ‘Changes in spine length during and after seated whole-body vibration’, Spine, 1990, 15:1257
    47. Adams MA, Bogduk N, Burton K, Dolan P, ‘The biomechanics of back pain. Chapter 14: sensorimotor control. Third edition’, Churchill Livingstone, Elsevier, 2013:189
    48. Pope MH, Broman H, Hansson T, ‘Impact response of the standing subject. A feasibility study’, Clin Biomech, 1989, 4:195
    49. Adams MA, Bogduk N, Burton K, Dolan P, ‘The biomechanics of back pain. Introduction. Strain, hysteresis and toughness. Third edition’, Churchill Livingstone, Elsevier, 2013:6
    50. Yahia L, Rhalmi S, Newman N et al., ‘Sensory innervation of human thoracolumbar fascia. An immunohistochemical study’, Acta Orthop Scand, 1992, 63:195
    51. Rhalmi S, Yahia LH, Newman N et al., ‘Immunohistochemical study of nerves in lumbar spine ligaments’, Spine, 1993, 18:264
    52. Yamashita T, Minaki Y, Oota I et al., ‘Mechanosensitive afferent units in the lumbar intervertebral disc and adjacent muscle’, Spine, 1993, 18:2252
    53. Roberts S, Eisenstein SM, Menage J et al., ‘Mechanoreceptors in intervertebral discs. Morphology, distribution, and neuropeptides’, Spine, 1995, 20:2645
    54. McLain RF, Pickar JG, ‘Mechanoreceptor endings in human thoracic and lumbar facet joints’, Spine, 1998, 23:168
    55. Dolan P, Adams MA, ‘The relationship between EMG activity and extensor moment generation in the erector spinae muscles during bending and lifting activities’, J Biomech, 1993, 26:513
    56. Pope MH, Magnussen MPT, Wilder DG, ‘Low back pain and whole body vibration’, Clin Orthop Relat Res, 1998, 354:241
    57. Pollock RD, Woledge RC, Mills KR et al., ‘Muscle activity and acceleration during whole body vibration. Effect of frequency and amplitude’, Clin Biomech, 2010, 25:840
    58. Bigland-Ritchie B, Cafarelli E, Vøllestad NK, ‘Fatigue of submaximal static contractions’, Acta Physiol Scand Suppl, 1986, 556:137
    59. Bigland-Ritchie BR, Dawson NJ, Johansson RS et al., ‘Reflex origin for the slowing of motoneurone firing rates in fatigue of human voluntary contractions’, J Physiol, 1986, 379:451
    60. Gandevia SC, Allen GM, Butker JE et al., ‘Supraspinal factors in human muscle fatigue. Evidence for suboptimal output from the motor cortex’, J Physiol, 1996, 490:529
    61. Taimela S, Kankaanpää M, Luoto S, ‘The effect of lumbar fatigue on the ability to sense a change in lumbar position. A controlled study’, Spine, 1999, 24:1322
    62. Björklund M, Crenshaw AG, Djupsjöbacka M et al., ‘Position sense acuity is diminished following repetitive low-intensity work to fatigue in a simulated occupational setting’, Eur J Appl Physiol, 2000, 81:361
    63. Davidson BS, Madigan ML, Nussbaum MA, ‘Effects of lumbar extensor fatigue and fatigue rate on postural sway’, Eur J Appl Physiol, 2004, 93:183
    64. Madigan ML, Davidson BS, Nussbaum MA, ‘Postural sway and joint kinematics during quiet standing are affected by lumbar extensor fatigue’, Hum Mov Sci, 2006, 25:788
    65. Vuillerme N, Anziani B, Rougier P, ‘Trunk extensor muscles fatigue affects undisturbed postural control in young healthy adults’, Clin Biomech, 2007, 22:489
    66. Hides JA, Stokes MJ, Saide M et al., ‘Evidence of lumbar multifidus muscle wasting ipsilateral to symptoms in patients with acute/subacute low back pain’, Spine, 1994, 19:165
    67. Hodges PW, ‘Changes in motor planning of feedforward postural responses of the trunk muscles in low back pain’, Exp Brain Res, 2001, 141:261
    68. Hodges PW, Mosely GL, Gabrielsson A et al., ‘Experimental muscle pain changes feedforward postural responses of the trunk muscles’, Exp Brain Res, 2003, 151:262
    69. Radebold A, Cholewicki J, Polzhofer GK et al., ‘Impaired postural control of the lumbar spine is associated with delayed muscle response times in patients with chronic idiopathic low back pain’, Spine, 2001, 26:724
    70. Pope MH, Hansson TH, ‘Vibration of the spine and low back pain’, Clin Orthop Rel Res, 1992, 279:49
    71. Holm S, Nachemson AL, ‘Nutrition of the intervertebral disc. Effects induced by vibration’, Orthop Trans, 1985, 9:525
    72. Hirano N, Tsuji H, Ohshima H et al., ‘Analysis of rabbit intervertebral disc physiology based on water metabolism. II. Changes in normal intervertebral discs under axial vibratory load’, Spine, 1988, 13:1297
    73. Ishihara H, Tsuji H, Hirano N et al., ‘Effects of continuous quantitative vibration on rheologic and biological behaviors of the intervertebral disc’, Spine, 1992, 17 (Suppl 3):S7
    74. Yamazaki S, Banes AJ, Weinhold PS et al., ‘Vibratory loading decreases extracellular matrix and matrix metalloproteinase gene expression in rabbit annulus cells’, Spine J, 2002, 2:415
    75. Yamazaki S, Weinhold PS, Graff RD et al., ‘Annulus cells release ATP in response to vibratory loading in vitro’, J Cell Biochem, 2003, 90:812
    76. Federaal Kenniscentrum voor de Gezondheidszorg (KCE), ‘Chronische Lage Rugpijn’, KCE Reports, 2006, Vol 48
    77. Federaal Kenniscentrum voor de Gezondheidszorg (KCE), ‘Samenvatting. Klinische richtlijnen rond lage rugpijn en radiculaire pijn’, KCE Report, 2017, 287 As
    78. The American College of Physicians, ‘‘… doctors finally admit drugs can’t fix most cases of back pain and now recommends alternative therapies for low back pain’, Vox Topics Trendy, 2017, Feb 14
    79. Maher C, Underwood M, Buchbinder R, ‘Non-specific low back pain’, Lancet, 2017, 389:736
    80. Hartvigsen J, Hancock MJ, Kongsted A et al., 'What low back pain is and why we need to pay attention’, Lancet, 2018, 391:2356
    81. Foster NE, Anema JR, Cherkin D et al., ‘Prevention and treatment of low back pain. Evidence, challenges, and promising directions’, Lancet, 2018, 391:2369
    82. Vos Theo and collaborators, ‘Global, regional, and national incidence, prevalence, and years lived with disability for 301 acute and chronic diseases and injuries in 188 countries, 1990-2013. A systematic analysis for the Global Burden of Disease Study 2013’, Lancet, 2015, 386:743
    83. Naghavi Mohsen et al., ‘Global, regional, and national age-sex specific all-cause and cause-specific mortality for 240 causes of death, 1990-2013. A systematic analysis for the Global Burden of Disease Study 2013’, Lancet, 2015, 385:117
    84. Murray Christopher JL and HALE Collaborators, ‘Global, regional, and national disability-adjusted life years (DALYs) for 306 diseases and injuries and healthy life expectancy (HALE) for 188 countries, 1990-2013. Quantifying the epidemiological transition’, Lancet, 2015, 386:2145
    85. Murray CJL and collaborators, ‘Global, regional, and national under-5 mortality, adult mortality, age-specific mortality, and life expectancy, 1970-2016. A systematic analysis for the Global Burden of Disease Study 2016’, Lancet, 2017, 390:1084
    86. Fritzell P, Hagg O, Wessberg P et al., ‘2001 Volvo Award Winner in Clinical Studies: Lumbar fusion versus nonsurgical treatment for chronic low back pain: a multicenter randomized controlled trial from the Swedish Lumbar Spine Study Group’, Spine, 2001, 26:2521
    87. Brox JI, Sorensen R, Frijs A et al., ‘Randomized clinical trial of lumbar instrumented fusion and cognitive intervention and exercises in patients with chronic low back pain and disc degeneration’, Spine, 2003, 28:1913
    88. Fairbank J, Frost H, Wilson-MacDonald J et al., ‘Randomised controlled trial to compare surgical stabilisation of the lumbar spine with an intensive rehabilitation programme for patients with chronic low back pain: the MRC spine stabilisation trial’, BMJ, 2005, 330:1233
    89. Brox JI, Reikeras O, Nygaard O et al., ‘Lumbar instrumented fusion compared with cognitive intervention and exercises in patients with chronic back pain after previous surgery for disc herniation: a prospective randomized controlled study’, Pain, 2006, 122:145
    90. Mirza SK, Deyo RA, ‘Systematic review of randomized trials comparing lumbar fusion surgery to nonoperative care for treatment of chronic back pain’, Spine, 2007, 32:816
    91. Kerr SM, White AP, Albert TJ, ‘Surgical treatment of degenerative lumbar disc disease. A critical review’, In Phillips FM, Lauryssen C (editors) ‘The Lumbar Intervertebral Disc’, New York, Thieme Medical Publishers Inc, 2010:283
    92. Allan DB, Waddell G, ‘An historical perspective on low back pain and disability’, Acta Orthop Scand, 1989, 60 (Suppl 234):8

* Guy Declerck, MD .
1964, Grieks-Latijnse Humaniora .
1978, Dokter in de Genees-,Heel-, en Verloskunde (KUL) .
1983, Medische Specialist in de Orthopedie (KUL & Exeter, UK) .
1988, Postgraduate Orthopedic Surgery (Plymouth & Liverpool, UK) .
1989, Spinal Fellow in Adult Spinal Surgery (Perth, Australia) .
1989, Research Fellow in Spinal Injuries & Rehabilitation (Perth, Australia)