Roger Gijsemans

Malgré son opération, Roger continuait à avoir mal au dos, jusqu’à ce qu’il découvre l’Andullation.

« Auparavant, je passais 5 mauvaises nuits par semaine, maintenant plus que deux »

Introduction

Vous êtes né avec un problème de dos et vous passez en plus vos journées assis à un bureau ? Il n’est alors pas surprenant que vous fassiez état de douleurs dorsales à un jeune âge. Pour Roger Gijsemans, ces douleurs menaçaient grandement sa qualité de vie. Voici son histoire !

Soulagement de la douleur Mon chemin vers l'Andullation

Roger a toujours exercé un métier de bureau, à Anvers. À 50 ans, il dut mettre fin à son activité pour cause de douleurs dorsales. En réalité, l’origine du problème datait de bien avant. Enfant déjà, on lui apprit lors d’un examen : « Votre dos n’est pas droit ». Cela ne l’a pas empêché de jouer au football jusqu’à ses 28 ans. Une fois la barre des 40 ans passée, les problèmes ont commencé à apparaître. Une opération lui permit de rectifier la position de sa 5e vertèbre. Le médecin le prévenu : « Sinon, vous vous retrouverez en fauteuil roulant dans 5 ans ». Les douleurs ne sont pas parties pour autant, surtout dans la zone lombaire, avec des picotements dans les jambes, ce qui faisait que Roger dormait très mal. Roger suit également un traitement ostéopathique depuis des années, mais continue de chercher des alternatives.

Roger a alors découvert, via des articles parus dans le journal, la thérapie par Andullation : une thérapie combinant des vibrations mécaniques et la chaleur infrarouge. Il demande alors conseil à son ostéopathe : « Cela ne peut pas faire de mal… » Roger a alors effectué les démarches nécessaires et entamé sa thérapie par Andullation quotidienne. Deux semaines plus tard, il s’est retrouvé par hasard à un événement de présentation de l’Andullation, auquel il a fait savoir à tous les curieux présents : « Après quatorze jours, je suis convaincu qu’il s’agit de la thérapie dont j’ai besoin ».

Depuis, Roger a exploré les possibilités offertes par l’ANDUMEDIC® 3, et il sait désormais précisément quels programmes sont pour lui les meilleurs. Il insiste particulièrement sur l’amélioration de sa circulation sanguine et de ses troubles du sommeil. Résultats aujourd’hui ? « Avant, je dormais mal cinq nuits par semaine, maintenant plus que deux » Son traitement médicamenteux a été réduit au strict minimum. Roger profite de la vie. Il s’occupe de ses parents, de ses beaux-parents et de son oncle, tous des quatre fois vingt. Le temps qu’il lui reste, il le dédie à son club préféré : le KSV Schriek.