André Turrekens

André ne prend plus d’antidouleurs depuis 4 mois.

« Après trois semaines d’Andullation, mes symptômes avaient fortement diminué. »

Introduction

André Turrekens est un Grammontois calme et jovial qui profite de sa pension. Il aime sa ville et y est très attaché. C’est dans un de ses bâtiments historiques qu’André a trouvé ce qu’il cherchait depuis un moment : une solution à ses douleurs.

Soulagement de la douleur Mon chemin vers l’Andullation

Arthrose
Depuis quelque temps déjà, André doit supporter son arthrose, « entre autres ». Avec le temps, tout s’use, et notre corps n’échappe pas à la règle. 20 années passées dans le Service espaces verts de sa ville n’ont bien entendu pas amélioré la situation : « Tondre la pelouse, utiliser les machines, et en particulier la débroussailleuse, plusieurs fois par semaine durant la saison. On répète toujours le même mouvement, de gauche à droite ». De plus, André doit vivre avec un léger handicap : sa jambe gauche est plus courte que l’autre d’un centimètre. Il subissait des douleurs constantes dans sa jambe gauche, et devait prendre des antidouleurs deux à trois fois par semaine. La nuit, il se faisait souvent réveiller par la douleur. Dormir sur son autre côté n’était pas vraiment une option. André décida donc de se mettre à chercher une solution.

Koetshuis
Actif dans la vie associative, André remarqua un jour qu’un événement sur la thérapie par Andullation avait lieu dans le Koetshuis, un centre culturel de sa ville. Il pensa alors : « Ça ne coûte rien d’aller jeter un coup d’œil ». D’abord seul, puis accompagné. Et ce fut le coup de foudre. André était persuadé d’avoir trouvé la solution qu’il cherchait. Sa première séance lui donna un peu l’impression de flotter. Le conseiller lui expliqua qu’un traitement quotidien était nécessaire pour réellement profiter des bienfaits de la thérapie. André le reconnait : « En effet, en trois semaines assidues, mes symptômes avaient fortement diminué ».

Photographe
Les docteurs lui avaient clairement expliqué qu’ils ne pouvaient rien pour André et la forme grave d’arthrose qui le touchait : « Des chaussures spéciales, peut-être ? » Mais ils ne pouvaient rien garantir. André craignait de finir avec une mauvaise posture. Pour le moment, il vit sans douleur, sans médicaments et se donne entièrement à sa passion : la photographie. Sa spécialité : la macrophotographie, les insectes et les natures mortes. Il y a quelque temps, il a même exposé au 49e salon de photographie… au Koetshuis !