Ronny Vanhove

L’Andullation fait des miracles, pour peu qu’on s’y consacre régulièrement

« Après une séance, je me sens quelqu’un d’autre »

Introduction

La fibromyalgie est une maladie étrange. De l’extérieur, on ne remarque pas grand-chose. Cela ne rend pas les douleurs moins réelles pour autant. La plupart des fibromyalgiques sont des femmes, mais les hommes peuvent aussi développer la maladie. Nous avons rendu visite à Ronny Van Hove, originaire de Linter.

Soulagement de la douleur Mon chemin vers l’Andullation

Licenciement

Ronny travaillait en tant que machiniste : un métier qu’il était heureux d’exercer. Lorsque tout à coup, la maladie a commencé à s’attaquer à ses muscles et articulations. Le médecin du travail lui a donc ordonné un arrêt de trois mois, après lequel il n’était cependant toujours pas capable de fonctionner normalement. Entre-temps, Ronny s’est battu et a tout fait pour trouver une solution. Pour le moment, les médecins essaient de trouver le médicament le plus adapté à sa situation. Lui, doit énormément se reposer. Dix heures de sommeil ne suffisent généralement pas ! Ronny ne comprend pas : « Avant, je me sentais en pleine santé, puis, du jour au lendemain, je me suis retrouvé à avaler quotidiennement 9 pilules».

Thérapie complémentaire

C’est dans het Laatste Nieuws que Ronny a découvert l’Andullation. Après quelques recherches sur internet, il est tombé sur la société hhp. Un conseiller est alors venu expliquer en détails en quoi consiste la thérapie : une combinaison de vibrations et d’infrarouges, très efficace contre les douleurs notamment. Depuis, Ronny est devenu un fidèle utilisateur : « L’Andullation soulage énormément. C’est comme si vous sortiez de votre corps pendant un instant : vous êtes quelqu’un d’autre. Un réel plaisir : sur le matelas, mais aussi quand j’en descends. Malheureusement, la douleur revient après un certain temps. La thérapie doit donc être régulièrement suivie.

Remonter doucement la pente

Ronny a bon espoir et reste aussi actif qu’il le peut. Il essaie d’être à l’extérieur autant que possible : travailler un peu dans le jardin, faire une petite promenade. Ce qu’il trouve dommage, c’est l’incompréhension de son entourage. Bien que ses proches vivent à ses côtés, ils ne comprennent pas vraiment son affection. Ronny leur a alors fait lire un fascicule du médecin, ce qui les a aidés à comprendre un peu mieux. Ronny espère aussi pouvoir reprendre sa passion : le billard à bouchon ! Après avoir joué à haut niveau, il ne peut pour le moment qu’être spectateur. Mais l’espoir fait vivre !